Il me semblait que les requins étaient en passe de devenir un espèce protégée, grave erreur , c'est le surfer !
Protégeons-le contre lui-même!!
MORENO Miguel
Professeur EPS certifié collège LESPARRE
Objet : Plainte contre un CRS surveillant de baignade Plage centrale de Soulac ;
A:.GENDARMERIE NATIONALE SOULAC SUR MER.
CC : Député maire Soulac sur mer : PINTAT XAVIER.
Madame, Monsieur,
Je souhaite vous informer de l’agression dont j’ai été victime, occasionnée par un CRS surveillant de baignade le 18/08/2008 aux environs de 17h30.
Mon ami CHARPIOT FABIEN et moi-même nous nous mettons à l’eau en face du casino de Soulac pour aller surfer. Mon ami étant un surfer débutant (contrairement à moi puisque je surfe toute l’année sur Soulac depuis environ 5 ans) et de par un courant violent ce jour-ci, nous dérivons très rapidement jusqu’à la plage centrale et nous arrivons à 20 mètres de la verticale de l’abeille/fanion bleu de l’entrée de zone de baignade réglementaire et surveillée. Suite aux injonctions effectuées par coups des sifflets catégoriques des Maîtres Nageurs Sauveteurs de surveillance, nous nous rapprochons du bord, nous étions environ à 50 mètres de la plage.
Rapidement et après quelques mètres effectués vers la plage le courant continue de nous faire dériver nous serions sortis en plein milieu de la zone de bain au beau milieu des baigneur. Je décide donc de nous laisser dériver jusqu’à l’extérieur de cette zone pour ne prendre aucun risque avec les baigneurs.
Lors de notre traversée de la zone, nous ne tentons de prendre aucune vague et je répons par des gestes de main, du haut vers le bas, main à plat à deux reprises pour tenter de calmer l’agacement justifié des MNS et leur montre la direction de notre sortie de zone. Ils me confirment cette direction du haut de leur chaise avec des mouvements de bras montrant qu’ils nous demandaient de nous laisser dériver pour sortir plus loin. Nous obtempérons donc.
Arrivé à 15 mètres du bord, mon débutant devant moi, lui déjà sur la plage, un CRS arrivé en courant plonge et nage rapidement dans ma direction. Il arrive à ma hauteur visiblement pas content du tout, prend appui sur ma planche et me demande bruyamment de sortir. Je lui réponds que c’était ce que j’étais en train de faire et lui demande de lâcher ma planche. Suite à cela et ne voulant pas lâcher ma planche et pour me sortir lui-même de l’eau, il me déséquilibre et me fait délibérément couler la tête sous l’eau en s’appuyant des deux mains sur mes épaules pendant une période de 5 à 8 secondes. Je refais surface complètement ahuri et lui hurle « vous êtes malade, lâchez moi immédiatement », il me tire violemment par le biais de mon leash de sécurité reliant ma cheville à ma planche, je lui hurle « vous risquez de me blesser ». Il continue de me tirer vers le bord de la plage.
Arrivés dans la vagues de bord de rivage, nous nous faisons happer dangereusement et la violence de la vague l’oblige à lâcher prise.
Au bord il me reprend par le bras et me malmène pendant que je tente de défaire le scratch de mon leash. Il continue de hurler et me demande de le suivre, ce que je fais complètement incrédule par ce qui vient de se passer. Arrive un de ses collègue, très calme qui lui demande de se calmer et me demande de lui confirmer si je veux bien le suivre, ce que je fais et nous sommes rejoint par mon ami. Sur le trajet nous marchons tous ensemble sous les regards de la plage ameutée par ses hurlements. Une quinzaine de personnes s’est levée spontanément pour se rapprocher de notre petit groupe. Sur le trajet en direction du poste je lui lance « vous êtes dingue, vous m’avez coulé ». Il se retourne me saisit violement au col de ma combinaison avec sa main gauche, me tire vers le bas pour ensuite lancer ce même poing en sens inverse pour venir heurter ma mâchoire. Dans le même moment il me fait une béquille avec son genou droit qui vient me heurter au niveau du bas ventre. A la suite de ça il repart immédiatement en reprenant sa marche et me tournant le dos.
Là, je reste carrément médusé et me calme sous les injonctions de mon ami et de l’autre CRS pour rapidement reprendre ma marche vers le poste. Arrivé à ce dernier il me fait rentrer seul me demande de m’asseoir, ce que je fais. Je lui demande des explications sur son geste. Il hurle, moi aussi mais je reste assis. Il finit par me demander de me taire, il marche en tous sens en attendant les consignes du chef de poste qui tarde à venir. Il commande alors une intervention de la gendarmerie par téléphone, me menace de garde à vue sous l’inculpation de mise en danger de la vie d’autrui, de refus d’obtempérer, d’injure à agent ensuite il nie m’avoir frappé, me demandant si je saigne quelque part, dit que je l’ai insulté sans pour autant préciser les termes de mes insultes etc.
A ce moment précis la situation devient critique puisque des ordres pour transmission arrivent sur les canaux radios, il continue d’axer sa procédure sur mon procès verbal mais les demandes de renseignements (jet ski présent sur zone etc..) se font de plus pressant sur les radios. Il est visiblement débordé et sentant l’enjeu pour les personnes en danger du moment, je continue de me taire. C’est à ce moment précis que le « chef de poste arrive » en courant au centre de secours tente de re-régler en jurant la radio, pour transmettre et nous annonce qu’il y a une procédure de noyade en cours et lui demande sèchement de rejoindre son poste. Je suis une fois de plus atterré.
Ensuite les gendarmes arrivent, demande à connaître la version du chef de poste puis la mienne. Mais tout le monde convient du fait que je ne suis plus cette fois ci, l’urgence et l’on me demande de quitter les lieux après avoir pour une deuxième fois inscrit mon identité sur un post-it rose pour une éventuelle convocation ultérieure.
Outre le fait de m’avoir coulé, le coup de poing, le coup de genou, m’occasionnant aujourd’hui une douleur à l’aine je garderai en mémoire sa réplique imparable à ma question : « imaginez que je fasse un malaise après que vous m’ayez coulé ou au moment ou vous m’avez frappé frappé, qu’auriez vous fait ? », lui, «on vous aurait ramené au poste de secours et on vous aurait réanimé monsieur ».
Je tiens à affirmer que je ne l’ai jamais insulté (si ce n’est en employant les termes de « dingue », « malade »), que je n’ai jamais mis en danger qui que ce soit car je suis passé au plus près à 50 mètres du premier baigneur et que durant toute cette agression, je pense avoir gardé mon calme en ne répliquant même pas aux coups qu’il m’a porté. Les témoignages spontanés des gens, joints à ce dossier, attestent de ma bonne foi et je peux aisément en produire davantage.
J’espère que cet agent de la fonction publique sera durement sanctionné. Il serait injuste qu’il en soit autrement.
Veuillez agréer madame monsieur, à l’expression de mes sentiments distingués.
Nos chers pouvoirs publics nous préparent pour très bientôt une loi dont ils ont le secret.
Ce n'est pas encore pour les sports de glisse, quoique ce genre de choses là progresse vite.......
Sous couvert de : « C’est pour votre sécurité » , les motards devront rouler avec une chasuble fluo, là encore, c’est passable , pas très sexy mais passable !!!
Mais ce sera avec leur numéro d’immatriculation placardé devant et derrière et là c’est carrément intolérable, laissant la porte ouverte à tous les abus, les délations bref la peste !
Donc obéissant, j’ai commandé la mienne et elle sera celle-là :
FP
Ce sont de gens qui classent les choses. Un impressionniste ne peut pas être un classique puisque c'est un impressionniste ! Il y a un souci de mettre de l'ordre dans tout cela qui reflète bien d‘ailleurs le souci qu'ils ont de convaincre d'utiliser la culture à des fins limitatives. La culture, en ce moment surtout, est très très nettement destinée à abêtir le public et non pas à le rendre malin. C'est une culture pour, comme ledit le chef d'orchestre de mon spectacle, faire gagner des points aux érudits. C'est de la fausse culture........
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